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LES EXPERTS ENCORE ET ENCORE
En jouant avec les différents éléments mis à sa disposition pour combler les lacunes scénaristiques, Les Experts devient une machine parfaitement huilée, tournant en roue libre, en évitant tous les problèmes de narration et de rythme. Elle simplifie son écriture sans toutefois apparaître basique, mais au contraire, en surexposant des enquêtes simples par le truchement de l’analyse scientifique, jouant sur la curiosité et la fascination du spectateur, qui en redemande. Qu’importe finalement la résolution, ou dans une moindre mesure, mais les moyens œuvrés pour parvenir à ce dessein. Les Experts réussi le pari fou de pervertir la constitution même de l’enquête policière en n’ayant plus une obligation de résultat, mais une obligation de moyen, et ce, en utilisant une épure et une facilité effroyable mais qui fonctionne admirablement.
Si Les Experts est bien le modèle de construction et de gestion pour une série tv, pourquoi alors n’apparaît-elle pas comme l’incarnation parfaite, l’exemple de la perfection ?
Parce qu’il est un élément qu’il est impossible d’analyser sereinement pour le réduire à une simple donnée de l’équation. Un principe qui n’est, finalement, que théorique et ne reposant sur aucun schéma connu. A l’instar d’un Gil Grissom, Les Experts est une entité qui ne vit (n’existe ?) que par l’intermédiaire de la science, l’analyse et ses conclusions, mais ne tient pas en compte l’aspect humain qui est trop irrationnel. Une série qui est née d’un raisonnement à défaut d’une réelle envie, d’une passion qui finit par lui faire défaut.
Les Experts manque cruellement d’empathie pour ses personnages et son public. Elle les traite comme des facteurs pouvant éventuellement modifier le résultat, sans toutefois y croire complètement. Et pourtant, très étrangement, les épisodes les plus forts émotionnellement, les plus poignant et impliquant avec passion le public comme les personnages, incluaient des données plus ou moins contraire à l’essence de la série ou dans son approche analytique. Les deux premiers épisodes de la saison un, et les deux derniers de la cinquième saison sont sûrement ce que la série a produit de plus intense parce que dans ces quatre épisodes l’implication de l’humain tenait la part principale, elle donnait lieu à l’existence de l’épisode et lui donnait naissance quand les éléments récurrents de la série se contentait de les maintenir en vie. La série ne se mettait toutefois pas en danger, elle reposait sur les mêmes principes, mais atténuait considérablement cet aspect froid et parfois impersonnel des épisodes routiniers.
Parce que cette apathie peut finir par lasser et provoquer la rupture. Pourquoi continuer à regarder un show dont on sait grossièrement ce qu’il va s’y passer ? A quoi bon ? Simplement parce que jamais la série n’a exposé l’envie d’une longue existence, parce que jamais elle n’a fait preuve d’une réelle ambition, n’a tenu aucune promesse. Elle se multiplie, elle continue uniquement parce que le public en redemande, parce qu’il est présent toutes les semaines et qu’il n’y a pas encore overdose. Certains arrêtent quand d’autres commencent, certains reprennent quand d’autres stoppent. Ce courant continu procure une présence perpétuelle et régulière qui maintient le show au plus haut.
Dans ce rapport étrange entre efficacité brute et épure dramaturgique, dans cette opposition entre une longévité accrue et une absence totale d’ambition, la série marque un point d’honneur dans le monde de la série tv pour sa conception au-delà de la simple réussite. Elle démontre une incroyable connaissance des rouages des séries et une inventivité pour combler bon nombre de déficience en l’inscrivant dans le schéma de conception. Comme un perpétuel dialogue entre la création et la résolution, Les Experts est un objet télévisuel presque effrayant.
Les Experts, série parfaite ?
Non, mais c’est peut-être celle qui s’en approche le plus.
Si Les Experts est bien le modèle de construction et de gestion pour une série tv, pourquoi alors n’apparaît-elle pas comme l’incarnation parfaite, l’exemple de la perfection ?
Parce qu’il est un élément qu’il est impossible d’analyser sereinement pour le réduire à une simple donnée de l’équation. Un principe qui n’est, finalement, que théorique et ne reposant sur aucun schéma connu. A l’instar d’un Gil Grissom, Les Experts est une entité qui ne vit (n’existe ?) que par l’intermédiaire de la science, l’analyse et ses conclusions, mais ne tient pas en compte l’aspect humain qui est trop irrationnel. Une série qui est née d’un raisonnement à défaut d’une réelle envie, d’une passion qui finit par lui faire défaut.
Les Experts manque cruellement d’empathie pour ses personnages et son public. Elle les traite comme des facteurs pouvant éventuellement modifier le résultat, sans toutefois y croire complètement. Et pourtant, très étrangement, les épisodes les plus forts émotionnellement, les plus poignant et impliquant avec passion le public comme les personnages, incluaient des données plus ou moins contraire à l’essence de la série ou dans son approche analytique. Les deux premiers épisodes de la saison un, et les deux derniers de la cinquième saison sont sûrement ce que la série a produit de plus intense parce que dans ces quatre épisodes l’implication de l’humain tenait la part principale, elle donnait lieu à l’existence de l’épisode et lui donnait naissance quand les éléments récurrents de la série se contentait de les maintenir en vie. La série ne se mettait toutefois pas en danger, elle reposait sur les mêmes principes, mais atténuait considérablement cet aspect froid et parfois impersonnel des épisodes routiniers.
Parce que cette apathie peut finir par lasser et provoquer la rupture. Pourquoi continuer à regarder un show dont on sait grossièrement ce qu’il va s’y passer ? A quoi bon ? Simplement parce que jamais la série n’a exposé l’envie d’une longue existence, parce que jamais elle n’a fait preuve d’une réelle ambition, n’a tenu aucune promesse. Elle se multiplie, elle continue uniquement parce que le public en redemande, parce qu’il est présent toutes les semaines et qu’il n’y a pas encore overdose. Certains arrêtent quand d’autres commencent, certains reprennent quand d’autres stoppent. Ce courant continu procure une présence perpétuelle et régulière qui maintient le show au plus haut.
Dans ce rapport étrange entre efficacité brute et épure dramaturgique, dans cette opposition entre une longévité accrue et une absence totale d’ambition, la série marque un point d’honneur dans le monde de la série tv pour sa conception au-delà de la simple réussite. Elle démontre une incroyable connaissance des rouages des séries et une inventivité pour combler bon nombre de déficience en l’inscrivant dans le schéma de conception. Comme un perpétuel dialogue entre la création et la résolution, Les Experts est un objet télévisuel presque effrayant.
Les Experts, série parfaite ?
Non, mais c’est peut-être celle qui s’en approche le plus.
LES EXPERTS ENCORE
Il est une autre donnée que la série implique dès sa création dans la construction d’un épisode pour éviter bon nombre de problèmes. Le format classique pour un épisode de série tv est approximativement de quarante-cinq minutes. Le problème quand on joue sur un facteur de répétition comme Les Experts est l’arrivée à plus ou moins long terme d’être incapable de fournir des intrigues suffisamment complètes, complexes pour tenir naturellement les minutes imposées. Il faut alors trouvé des moyens pour combler les trous scénaristiques sans sacrifier pour autant l’intrigue principale. Par son concept, la série a déjà pris en compte le problème et pallier celui-ci par sa définition même, sa ligne directrice.
La méthode classique pour parvenir à la durée exigée est de remplir les blancs par des passages musicaux. Pour prendre un cas extrême, une série comme Baywatch (Alerte à Malibu) utilisait à outrance cet outil pour modérer la pauvreté de ses scénarii et les gonfler de plans cartes postales. Les Experts utilise une technique identique, excepté qu’elle s’inscrit naturellement dans la continuité de l’épisode et devient même un passage obligé, un gimmick de narration interchangeable. En effet, en tenant compte de la direction scientifique donnée aux enquêtes, la nature même de la série, il devenait nécessaire et indispensable d’illustrer les méthodes de ces investigations. Autant l’aspect narratif de la découverte de la scène de crime confond cette possibilité, les recherches opérées en labo sur les preuves retrouvées donnaient la parfaite représentation pour l’apparition des passages musicaux. Mieux, ils devenaient modulables et pouvaient être répétés sans aucun risque d’outrance particulière puisqu’ils s’inscrivent logiquement dans la narration, et devenaient la distinction principale du show, son identité. Voir les manipulations, les mises en situations, les expériences sont la raison de l’existence de la série, et sa réussite. Qu’importe si une autopsie et une analyse soient narratives ou musicales puisque dans ce cas, seules les images sont réellement importantes.
Ainsi la série devient un modèle de perfection dans sa construction et notion de rythme puisqu’elle justifie ce qui est régulièrement une marque de faiblesse, en une notion indispensable, un gimmick valorisant.
De nombreux plans d’insère de la ville dévient également de leur rôle de remplissage qu’ils peuvent revêtir dans de nombreux show au rythme perfectible. Au contraire, dans Les Experts la localisation est un personnage à part entière et tous ces plans construisent un peu plus l’identité de ce protagoniste. D’ailleurs, les séries se déclinent en terme de localisation, Las Vegas, Miami ou New York, ainsi nous avons deux entités distinctes : d’un côté les CSI (les experts), de l’autre, une ville. La représentation de ces villes par les nombreux plans aériens tient lieu de descriptions témoignant généralement d’une cité tentaculaire pervertissant la population au point de les transformer potentiellement en assassin. Elle impose son caractère manipulateur (essentiellement pour Las Vegas) et devient petit à petit le mirage d’une ville de débauche et de luxure où la notion de crime représente moins que la possibilité de s’enrichir. Des trois séries, Les Experts Las Vegas est la seule à tenir réellement compte de la psychologie de sa localisation et de son implication (in)volontaire dans la plupart des crimes perpétués.
La méthode classique pour parvenir à la durée exigée est de remplir les blancs par des passages musicaux. Pour prendre un cas extrême, une série comme Baywatch (Alerte à Malibu) utilisait à outrance cet outil pour modérer la pauvreté de ses scénarii et les gonfler de plans cartes postales. Les Experts utilise une technique identique, excepté qu’elle s’inscrit naturellement dans la continuité de l’épisode et devient même un passage obligé, un gimmick de narration interchangeable. En effet, en tenant compte de la direction scientifique donnée aux enquêtes, la nature même de la série, il devenait nécessaire et indispensable d’illustrer les méthodes de ces investigations. Autant l’aspect narratif de la découverte de la scène de crime confond cette possibilité, les recherches opérées en labo sur les preuves retrouvées donnaient la parfaite représentation pour l’apparition des passages musicaux. Mieux, ils devenaient modulables et pouvaient être répétés sans aucun risque d’outrance particulière puisqu’ils s’inscrivent logiquement dans la narration, et devenaient la distinction principale du show, son identité. Voir les manipulations, les mises en situations, les expériences sont la raison de l’existence de la série, et sa réussite. Qu’importe si une autopsie et une analyse soient narratives ou musicales puisque dans ce cas, seules les images sont réellement importantes.
Ainsi la série devient un modèle de perfection dans sa construction et notion de rythme puisqu’elle justifie ce qui est régulièrement une marque de faiblesse, en une notion indispensable, un gimmick valorisant.
De nombreux plans d’insère de la ville dévient également de leur rôle de remplissage qu’ils peuvent revêtir dans de nombreux show au rythme perfectible. Au contraire, dans Les Experts la localisation est un personnage à part entière et tous ces plans construisent un peu plus l’identité de ce protagoniste. D’ailleurs, les séries se déclinent en terme de localisation, Las Vegas, Miami ou New York, ainsi nous avons deux entités distinctes : d’un côté les CSI (les experts), de l’autre, une ville. La représentation de ces villes par les nombreux plans aériens tient lieu de descriptions témoignant généralement d’une cité tentaculaire pervertissant la population au point de les transformer potentiellement en assassin. Elle impose son caractère manipulateur (essentiellement pour Las Vegas) et devient petit à petit le mirage d’une ville de débauche et de luxure où la notion de crime représente moins que la possibilité de s’enrichir. Des trois séries, Les Experts Las Vegas est la seule à tenir réellement compte de la psychologie de sa localisation et de son implication (in)volontaire dans la plupart des crimes perpétués.
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ENCORE LES EXPERTS
Ainsi, il n’est pas étonnant de voir que le personnage largement opposé à celui de Grissom dans son appréhension de la vie, soit celui qui dispose de la plus maigre attention. Il est fait à de nombreuses reprises mention à l’égard de Nick Stokes de son attitude volontairement tournée vers l’humain, au risque parfois de se retourner contre lui et l’induire en erreur. Mais il s’accroche avec vigueur à cette optique, en étant parfaitement conscient des risques qu’une telle situation impose. Heureusement, les scénaristes lui donnent parfois raison, comme lors de cet épisode où il reprend une affaire que Grissom a clos, et conclut finalement ce que son supérieur n’avait pas vu à l’époque. Un tel épisode n’est pas mis en place pour prouver que Nick Stokes peut être plus « fort » que Grissom, mais bel et bien que son approche humaniste peut parfois se révéler être le facteur déterminant dans la résolution de l’enquête. Cet épisode marque les différences immuables qui opposent les deux personnages, sans qu’aucune position ne soit réellement mise en cause. Les Experts prouve à de nombreuses reprises que les situations d’évolutions qu’elle met en place ne perturbe jamais le bon déroulement classique de la série.
Chaque élément novateur mis en place concernant la vie de ses personnages ne dure jamais très longtemps, et surtout, n’aura aucune incidence sur la série dans son ensemble. Les Experts ne se met jamais en danger, c’est à l’opposé de sa politique reproductrice, botte en touche quand le ballon devient trop chaud et résolut parfois grossièrement quand la situation l’exige. Le résultant est parfois frustrant, car elle aurait pu donner lieu à des possibilités réellement intéressantes. Ainsi, tous les évènements concernant la vie des personnages sont conclus et ne durent pas au-delà d’une saison (la surdité de Grissom, l’ex mari de Willows, l’addiction au jeu de Brown).
Mais pourquoi donner aussi peu d’importance aux personnages en dehors de leur travail ? Parce que cela mettrait en danger les fondations solides de la série. Elle s’est imposée une base et un schéma qu’un changement de position pourrait amener à l’écroulement. Minimiser toutes les possibilités d’égarement devient une ligne directrice dans la narration générale.
Il existe aussi une autre et non moindre raison qu’impose cette volonté. Ainsi, la série ne souffre pas d’une linéarité en constante évolution et peut donc accueillir en cour de diffusion n’importe quel spectateur ne suivant pas le show régulièrement. Elle n’oblige pas l’assiduité d’une vision hebdomadaire et évite les contraintes possibles qu’un tel genre octroie. En ne fidélisant pas obligatoirement l’audience, elle conserve un potentiel continuel en permanente évolution. Une série comme Urgence, Alias, X-files ou Lost exige que l’on ait regardé tous les précédents épisodes pour parfaitement comprendre et jouir de leur richesse. Or, la diffusion ou rediffusion des précédentes saisons ne sont pas toujours à la portée de tout le monde, et donc peut finir par perdre certains spectateurs sans en récupérer de nouveaux. Il n’y a guère de renouvellement d’audience, et la série peut donc être amener à péricliter à petit feu. Les Experts évite soigneusement ce problème, à quelques détails près, et parvient alors à la possibilité de renouveler continuellement son audience. En prenant une saison en cours, il n’y a guère de difficulté à comprendre et prendre plaisir, les informations concernant la nature même de la série se trouvent dans chaque épisode, répétés inlassablement. Les Experts ne s’encombre pas (ou peu) d’historique particulier, de facteur de temps et de références obligatoires, et ce, même au terme de cinq saisons. De plus, le fait de manquer un ou plusieurs épisodes devient acceptable dans la mesure où la perte d’éléments importants ou indispensables est quasiment réduit à zéro.
En évinçant ces donnés qui donneraient un caractère complexe à la série, Les Experts se permet le luxe de pouvoir durer ad vitam aeternam et même de se décliner, se reproduire - ce qu’elle n’a pas manqué de faire avec les opus Miami et New York qui répondent aux même critères et exigences que la série mère.
Chaque élément novateur mis en place concernant la vie de ses personnages ne dure jamais très longtemps, et surtout, n’aura aucune incidence sur la série dans son ensemble. Les Experts ne se met jamais en danger, c’est à l’opposé de sa politique reproductrice, botte en touche quand le ballon devient trop chaud et résolut parfois grossièrement quand la situation l’exige. Le résultant est parfois frustrant, car elle aurait pu donner lieu à des possibilités réellement intéressantes. Ainsi, tous les évènements concernant la vie des personnages sont conclus et ne durent pas au-delà d’une saison (la surdité de Grissom, l’ex mari de Willows, l’addiction au jeu de Brown).
Mais pourquoi donner aussi peu d’importance aux personnages en dehors de leur travail ? Parce que cela mettrait en danger les fondations solides de la série. Elle s’est imposée une base et un schéma qu’un changement de position pourrait amener à l’écroulement. Minimiser toutes les possibilités d’égarement devient une ligne directrice dans la narration générale.
Il existe aussi une autre et non moindre raison qu’impose cette volonté. Ainsi, la série ne souffre pas d’une linéarité en constante évolution et peut donc accueillir en cour de diffusion n’importe quel spectateur ne suivant pas le show régulièrement. Elle n’oblige pas l’assiduité d’une vision hebdomadaire et évite les contraintes possibles qu’un tel genre octroie. En ne fidélisant pas obligatoirement l’audience, elle conserve un potentiel continuel en permanente évolution. Une série comme Urgence, Alias, X-files ou Lost exige que l’on ait regardé tous les précédents épisodes pour parfaitement comprendre et jouir de leur richesse. Or, la diffusion ou rediffusion des précédentes saisons ne sont pas toujours à la portée de tout le monde, et donc peut finir par perdre certains spectateurs sans en récupérer de nouveaux. Il n’y a guère de renouvellement d’audience, et la série peut donc être amener à péricliter à petit feu. Les Experts évite soigneusement ce problème, à quelques détails près, et parvient alors à la possibilité de renouveler continuellement son audience. En prenant une saison en cours, il n’y a guère de difficulté à comprendre et prendre plaisir, les informations concernant la nature même de la série se trouvent dans chaque épisode, répétés inlassablement. Les Experts ne s’encombre pas (ou peu) d’historique particulier, de facteur de temps et de références obligatoires, et ce, même au terme de cinq saisons. De plus, le fait de manquer un ou plusieurs épisodes devient acceptable dans la mesure où la perte d’éléments importants ou indispensables est quasiment réduit à zéro.
En évinçant ces donnés qui donneraient un caractère complexe à la série, Les Experts se permet le luxe de pouvoir durer ad vitam aeternam et même de se décliner, se reproduire - ce qu’elle n’a pas manqué de faire avec les opus Miami et New York qui répondent aux même critères et exigences que la série mère.
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sa va c pa mal